Latin intra-muros
Apprendre et traduire des maximes latines en seconde, traduire des graffitis de Pompéi en première. Très bien, tout cela… mais qu’en faire pour rendre au latin son aspect bien vivant : drôle ou philosophique, provocateur ou moraliste ?
Voici ce que les élèves de Sonny Rupaire se sont donné comme objectif, cette année : l’art du détournement désinvolte, mais intelligent.
Et si on investissait l’espace de notre lycée pour provoquer l’interrogation et mettre un peu de couleurs ? (graffiti à la craie)
Et si on lisait un article très sérieux sur un sujet méconnu de tous : la sociologie des graffitis, les latrinalia, que l’on trouve dans les toilettes publiques en général, et dans celles de notre lycée en particulier…
À bientôt pour la suite
Valete !
Domina Ramus, magistra latinae linguae